
Maurise SAUR
Communication, E-formation / MIFAS- GRECMIP
Lille

Caroline COINTAT
E-formation
Nice

Sharon ABIHSSIRA
Commission Développement durable
Paris

Yoann DALMAS
Application CJOrtho
Toulouse

Grégoire MICICOI
FORTE Europe
Nice
Anciens Bureau
Le siège du CJO se trouve 56, rue Boissonnade, à Paris.
Histoire du Collège des Jeunes Orthopédistes
Chaque école chirurgicale a ses techniques, les défend, les enseigne. La période de l’internat est un chemin d’apprentissage qui se construit par d’indispensables connaissances livresques mais aussi d’échanges et d’expériences de blocs opératoires. Ces échanges, ces expériences partagées sont au cœur de l’esprit du Collège des Jeunes Orthopédistes.
Le petit arbre protégé par un autre plus mûr, emblème du collège, symbolise depuis plus de 15 ans cette dynamique d’accompagnement.
Ce qui sera rapidement appelé le CJO est imaginé dès 1997 à Paris autour de Christian Couturier, président, Serge Rizk, trésorier, Olivier Charrois, secrétaire. Il manque à l’époque de structure fédérant les futurs chirurgiens et les jeunes chefs de cliniques ou assistants. Le statut associatif se concrétise. Il s’agit d’informer, de fédérer et de favoriser la formation des jeunes orthopédistes.
Stéphane Prové joint, en 2002, ses forces à ce projet fédérateur et élargit l’initiative à un niveau national. Un site internet est créé et un congrès voit le jour. Des débats et communications avaient pour objectif de permettre d’appréhender l’exercice de la communication en congrès. L’approche se veut plus décontractée qu’un congrès traditionnel et des sujets plus fondamentaux ou d’autres plus théoriques peuvent être abordés. Ce développement assied une légitimité auprès de nos maitres. Certains se prêteront au jeu de participer au congrès en tant que modérateurs tels que messieurs Beaufils, Dubrana et Dujardin pour ne citer qu’eux. La « lettre du CJO » est un bulletin d’information diffusé à tous les membres du CJO présentant des dossiers sur des questions pratiques ou de formation.
À partir de 2005, l’affiliation du CJO au Collège Français d’Orthopédie et Traumatologie (CFOT) reconnait et officialise son caractère utile et pérenne pour la communauté orthopédique française. Le président du CJO siège dès lors en tant que membre invité au bureau.
Le président est élu par les membres du bureau et il est d’usage ensuite que le vice-président prenne ce rôle en charge pour assurer une continuité. La dynamique créée, Stéphane Prové cède donc son siège.
Thomas Grégory avec Jacques Marie Adam, Fabien Wallach et Grégory Biette assurent la continuité. Le CJO a dès lors une tribune puisque une session dédiée aux problématiques des orthopédistes en formation existe lors du congrès annuel de le Sofcot. Par ailleurs, un autre congrès du CJO est organisé. Jacques Marie Adam prend alors la présidence avec Sébastien Parratte, Julien Beldame et Fréderic Mouilhade. Sébastien Parratte reprend donc le flambeau et conduit le CJO pendant 4 ans. En 2012, le bureau actuel prend ce relais attendu sous le parrainage du président sortant. Le Collège se reconstitue et recentre son siège rue Boissonnade, au siège même de la SOFCOT et du CFOT. C’est une démarche qui se veut fédératrice afin de montrer l’unité et l’appartenance aux girons des sociétés filles d’orthopédie de plein droit en conservant dimension moins formelle.
Notre nouveau bureau essaye de conserver un héritage tout en entretenant des relations particulières avec la SOFCOT et le CFCOT. De nouveaux outils sont mis en place. Un site informatif est reformaté avec des référents ville par ville identifiés et accessibles. Le parcours d’interne débute en effet dès l’externat et ce compagnonnage permet déjà d’identifier les services, les villes qui pourront répondre à des désirs d’orientation. Une application mobile didactique, des aides aux voyages à visée clinique ou de recherche sont d’autres axes de travail. Participer au e-learning, être consulté au sujet de la formation et de l’évaluation des internes avec le CNU et la CFCOT font partie de nos actions et de nos velléités. Il s’agit d’être acteur du parcours d’apprentissage en se tournant vers une base de connaissances solides qui permettent dans un deuxième temps leur application pratique.